2017
03.18

BRM 200km de Feurs, 2017


Résumé

Et oui, ça change de l’Espagne coté météo, mais je suis là ! Avec toute la Squadra !

Descriptif :

Site Openrunner : BRM 200km de Feurs
2015-BRM_Feurs-logoPays : France
Région : Rhône-Alpes
Dépt : Loire
Ville de départ : Feurs (42110)
Difficulté : Haute
Distance : 198km / Dénivelé : 2200m
Durée : 7 heures 37
Sport : Cyclisme Route
N°Homologation : n°______

Et de trois ! Avec toujours autant de plaisir même si les jambes n’étaient peut-être pas aussi bonne que l’an passé, fatigue liée aux déplacements oblige. Mais bon, 200km c’est quoi au fond ? 2 x 100, 4 x 50, 8 x 25 … ? Finalement, c’est juste 200 fois 1 km …. 

Jonathan dira peut-être la même chose du 300…oui mais 300….c’est pas pareil…. 🙂  

Bonjour à la Squadra, bonjour à Régis, bonjour à tous des hommes et ces femmes qui vivent le vélo plutôt que le chrono.


Diaporama


Parcours

2015-BRM_Feurs-parcours


Profil

2015-BRM_Feurs-profil


2017
03.11

Au Sud de Vigo, le Rio Minho


Résumé

Le río Miño, fleuve long de 318km qui constitue la frontière entre l’Espagne et Portugal.

Descriptif :

GPX : Au Sud de Vigo, Rio Minho
Pays : Espagne / Région : Galice
Départ : Vigo (36390) / Difficulté : Facile
Distance : 121km / D+ : 1540m / Durée : 4 heures 45
Sport : Cyclisme Route

Samedi 11 mars. Nouvelle sortie vélo dans le sud de Vigo. Le temps s’est fortement rafraîchit. La faute sûrement du vent qui ramène sur la côte la fraîcheur de l’eau. Il est 9h tout juste lorsque je quitte Vigo. Un peu plus de trois mois se sont désormais écoulés et c’est sans appréhension que j’emprunte une route qui m’est désormais bien connue. Fini la galère du Celta, je préfère l’itinéraire de Samil, plus joli et beaucoup plus sûr. Toralla, Negran, Sabaris, je longe ainsi la cote jusqu’à Baiona. Les marques sont prises, je serais bientôt chez moi.

L’ombre allongée d’un suiveur glisse soudain sous mes roues. Quelques kilomètres à contrer, seul, puis mon compagnon se décide enfin à prendre un premier relais. Si nous avançons bien, je rumine en silence mon niveau d’Espagnol qui m’empêche de partager quelques mots avec lui. Oia, un petit signe de la main pour se remercier mutuellement. J’entame l’ascension qui doit me conduire sur les plateaux dominant l’Atlantique. La routes s’élève en épingles successives et offre une vue imprenable. Les forts pourcentages  sont vite oubliés 🙂 !

Oia, Galicia

500m de D+ plus tard, me voici sur les petites routes sauvages décovertes en voiture lors de la dernière tempête. Aucune lignes blanche n’entravent ici mon désir de liberté. La route s’étale tel un ruban au travers de rondes collines parsemées d’arbres. L’étroit hameau de Mabia où aboient joyeusement de petits chiens espagnols, puis une belle descente bordée d’Eucalyptus débouchant à Lourenza. Un endroit qui ne m’est plus inconnu depuis  le 22 janvier dernier.

Loureza

Nous approchons du but de cette journée, le Rio Minho, fleuve constituant la frontière géographique entre l’Espagne et le Portugal. L’idée est toute simple. Remontons le fleuve de son embouchure à la ville frontière de Tui. San Miguel de Tabagon, Tollo, Goian, Os Munios, les sonorités hispaniques n’auront jamais aussi bien sonnées. Une crevaison m’arrête quelques minutes avant la ville construite autour de la Cathedrale de Santa Maria. Contretemps un rien sans importance. Car si la visite de la ville est rapide, j’y reviendrais pas plus tard…que tout à l’heure…avec Ludo, et l’équipe espagnole. Tout comme à Valença d’ailleurs, place forte et soeur jumelle de Tui sur la rive Portuguaise.

Cathedrale de Santa Maria, Tui (1120, construction achevée en 1180)

Valença, place forte construite sur la rive portuguaise. Le paradis des touristes….et des marchands de chassettes ! N’est-ce pas François le Français 😉

Mais comme on est pas d’ici, il va falloir rentrer. Un panneau de sortie d’agglomération plus tard, me voici à nouveau les doigts plongés dans les entrailles d’un pneu décidément trop faible pour lutter contre les cailloux locaux. Pas de bol…ouais, deux fois en 10km, c’est vraiment pas de bol…il ne manquerait plus qu’il pleuve maintenant….OK, c’est bon, c’est bon, merci, j’ai compris….

Et de deux ! TUI LE !

La pluie, la pluie, j’aime, j’aime la pluie. Je reprends la route en direction du Parque Natural do Monte Aloia, il reste une trentaine de kilomètre. La pluie d’abord fine s’est transformée en un vrai déluge Et pour la fin de l’histoire, il faudra revenir….  Vive la Galice, vive le vélo, et vive la douche chaude !!!


Parcours


 Profil


2017
03.05

A O Grove, les plages sauvages de la Galice

Quand la valeureuse team GA passe un week-end dans la péninsule ibérique… c’est branché sur Palmashow pour se marrer jusqu’à O Grove et ses environs. De vastes cotes sauvages déchirées par les flots, des bateaux colorés jetés sans ménagement au sol par la marée, le cris des mouettes…à moins que ce soit celui d’un goéland… 🙂 ! Une presqu’île à apprécier par beau temps !

2017
03.05

#SemiInVigo3, Chapelle d’A Guia


Résumé

Descriptif :

La Chapelle d’A Guia, en l’honneur de « Nosa Señora das Neves »

GPX#SemiInVigo3
Pays : Espagne
Région : Galice
Départ : Vigo (36390)
Difficulté : Moyenne
Distance : 21.1km / D+ : 300m
Durée : 1 heures 53
Sport : Footing

Et Hop 🙂 De trois ! Qui aurait dit il y a tout juste 4 mois que Vigo me redonnerait l’envie de courir ! Un paire de basket, un short et un smartphone pour retrouver cette trace hasardeuse sillonant la cité galicienne. L’estomac encore lourd des excès de la veille, j’ai aujourd’hui choisie la route du Nord. L’église d’A Guia se dresse par dessus la ville en point de repère. Allée pavée du centre ville, quais boisées du port de plaisance, bitume sombre du port de marchandises, ascension spiralée du promontoire rapellant celle du Puy-de-Dome….!

Arrivé au sommet, la vue sur Vigo et sa baie est spectaculaire, avec toujours les îles de Cies en arrière plan. En contrebas, la petite plage de A Lagoa s’étale….magique comme beaucoup d’endroits dans cette région ! Magnifique, mystique. Une légende raconte que les femmes gravissaient autrefois cette montagne pour allumer le feux de joies qui ramèneraient leur maris à bon port. Il ne me reste plus qu’à traverser, direction ? America…plaza !

  


Parcours