2014
07.26

« Tour de Saint Etienne »


Résumé

Tour_St-Etienne_2014-banniere

Descriptif :

Site Openrunner : Tour de Saint Etienne
Pays : France
Région : Rhône-Alpes
Dépt : Loire
Ville de départ : Firminy (42700)
Difficulté : Moyenne
Distance : 157km / Dénivelé : 2100 m
Durée : 5 heures 57
Sport : Route

Diaporama

Parcours

Tour_St-Etienne_2014-parcours


Profil

Tour_St-Etienne_2014-profil


2014
07.19

L’Etoile du Béal 2014


Résumé

Descriptif :Etoile_du_Beal_2014

Cyclosportive : l’Etoile du Béal
Région : Rhône-Alpes
Dépt : Loire
Ville de départ :  Boën (42130)
Difficulté : Haute
Distance : 180km / Dénivelé : 3600m
Durée : 7 heures 32 minutes
Sport : Cyclisme Route

 


Parcours


Profil


Presse

Etoile_du_Beal_2014_presse-1


2014
07.13

13 juillet 2014, Tony Gallopin revêt le maillot jaune !

13 juillet 2014, 9e étape du Tour entre Gérardmer et Mulhouse. Elle est remportée par le Panzer allemand Tony Martin échappé seul pendant près de soixante kilomètres. Il s’empare des petits pois grâce à cette échappée. Le Français Tony Gallopin, membre d’un groupe intercalé entre Tony Martin et le peloton, ravit à Vincenzo Nibali le maillot jaune. Génial 😉 !

2014
07.13

LOOK KG186, 1992

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1990 : Look s’engage dans la course à l’innovation et conçoit le KG 196/186, son premier cadre carbone monobloc qui satisfait aux exigences de rigidité, d’aérodynamisme et d’esthétisme. Ce cadre léger s’adapte à de multiples terrains.

Et aujourd’hui encore ce cadre reste magique ! Rigidité dantesque, aérodynamisme travaillé dans les moindres détails et nombreuses innovations s’intègrent parfaitement au sein des lignes apparues sous le crayon du designer A.Volanis (premier Renault Espace).

Aujourd’hui encore ce cadre reste magique ! Rigidité dantesque, aérodynamisme travaillé dans les moindres détails et nombreuses innovations s’intègrent parfaitement dans les lignes tracées par A.Volanis (designer du premier Renault Espace).

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Bien que présentant quelques anachronismes, ce montage est pour moi celui du vélo ultime 🙂 !

 

Le montage et en quelques mots… attention, le discours très très commercial m’a fait plongé :

handmadeMONOBLADE : Les KG196/186 sont des MONOBLADE. Les ingénieurs de LOOK ont véritablement trouvé le compromis idéal pour satisfaire les exigences de rigidité, d’aérodynamisme et d’esthétisme. Les nombreux tests en soufflerie ont modifié considérablement les premières maquettes. Le boîtier de pédalier, les sections des différents tubes, la douille de direction, la liaison haubans-raccord de selle se sont transformées pour Aerobladepénétrer l’air avec la plus grande efficacité. Le produit devient une véritable lame (d’où Blade) qui tranche le vent. Quand on sait qu’à 50km/h, 95% de l’effort du coureur est dépensé pour vaincre le vent, votre MONOBLADE vous fera gagner des Watts donc de la vitesse – gain de 57% par rapport à un cadre classique.
Le cadre MONOBLADE est le premier cadre de la marque à conception monobloc. Les matériaux utilisés sur le KG186 sont le Carbon HR et le Kevlar (au lieu de Carbone HM, Kevlar et Céramique pour le KG196).

– Les pattes arrières sont démontables et donc interchangeables. L’entraxe des pattes arrières admet évidemment les roues libres huit vitesses.

– Les câbles de freins et de dérailleurs sont dissimulés à l’intérieur des tubes. Le dérailleur avant se fixe sur une patte aluminium prévue à cet effet.

– Le serrage du tube de selle se fait par tampon tangent. Exceptionnel.

ErgostemPotence ERGOSTEM : La double articulation permet une couverture de positions infinies.Les réglages sont simples et rapides. L’Aluminium et la Céramique (pour les rondelles de serrage) confèrent à l’ensemble une rigidité hors du commun. Vendue en pièces séparées, la phalange (pièce serrant le cintre) permet un changement rapide de guidon. Seuls les câbles de freins sont à enlever. Quel plaisir alors d’adopter la position idéale en remplaçant son guidon de course par un guidon de triathlon ou de contre la montre en moins de 5 minutes.

Le jeu de direction présente les mêmes caractéristiques révolutionnaires. Monté avec deux douilles à aiguilles, précontraint par bielles et ressorts, il ne demande ni entretien, Jeu-de-directionni réglage. Résistant et particulièrement léger, il peut être monté et démonté ultra-rapidement. La fourche est ainsi désolidarisé du cadre sans problème, à chaque fois que l’utilisateur le désire. A la différence du KG196, le jeu de direction du KG186 ne possède pas de système anti-vibratoire (VIBTENE).

La Fourche AEROFIN, 100% Carbon, a la particularité de posséder un pivot déporté qui lui confère une résistance deux fois supérieure à une fourche Carbon normale, grâce à l’homogénéité des fibres alignées. Designée comme un aileron de requin, pour un aérodynamisme maximal, elle profile ses deux bras jusqu’aux pattes forgées symétriques. La fourche est donc droite mais garde une chasse normale et donne à l’ensemble une géométrie standard. Au niveau de la douille de direction, une lèvre en élastomère assure la continuité du profil entre la fourche AEROFIN et le cadre pour l’aérodynamisme et la protection des chocs.

ErgopostLa tige de Selle ERGOPOST 100% Carbon, diamètre 25mm. Elle se compose d’une tige de selle en carbone, surmontée d’un chariot sur rails. Sa plage de réglage agrandie de 25mm par rapport à une tige de selle traditionnelle assure une assise performante et une position optimale, quels que soient votre morphologie ou votre style. Système le plus léger du marché, l’Ergopost existe en 2 diamètres (25 et 27,2) et accepte toutes les marques de selles.

Pédales LOOK PP 236, LOOK étant la marque qui a inventé la pédale automatique de cyclisme. Pour allier résistance et performance, les pédales PP 236 présentent un nouveau corps en aluminium au design très profilé, un MULTISENSOR et une surface d’appui plus importante. Le tout animé par une ligne d’axe court forgé à froid avec roulement à billes, douilles à aiguilles et joint d’étanchéité.

Pedale-automatique

EP0146454A2 : « Le dispositif comprend une platine (1) fixée sous la chaussure, et une pédale (2) pourvue d’une griffe d’accrochage (18) de la platine (1) ; l’échappement latéral de la chaussure est possible par torsion du pied, grâce à la présence de surface de commande en V (11,22) formées respectivement sur la platine (1) et sur la griffe (18)et aptes à provoquer le recul de la griffe (18). Selon l’invention la pédale (2) est pourvue de butées d’appui fixes (16a, 16b) qui absorbent intégralement les efforts de la platine (1) vers l’arrière durant le pédalage normal, évitant les déclenchements intempestifs. »

Mavic-3GPédalier Mavic 631 « Starfish » : Pédalier convertible 1, 2 ou 3 plateaux avec cheminées de vissage invisibles. Un pédalier haut de gamme qui a marqué son époque.

La roue arrière Mavic 3G munie de sa cassette « dents de requin ». Cette jante profilée 100% carbone à 3 battons est munie d’un moyeu interchangeable ce qui permet de la convertir en roue avant ou arrière. Elle fait l’événement des J.O.de Barcelone avec Chris Boardman.

La roue avant Mavic Cosmic. Bien qu’apparue en Ergopower1994, cette roue est le seul véritable anachronisme du montage puisqu’il s’agit d’une version plus récente de la Cosmic.  Une belle jante anodisée noir associée à des rayons plats inox mettent en valeur la légèreté de l’avant du cadre, accentuant de fait l’aspect massif de l’arrière. LOOK KG186, l’essence même du vélo agile et puissant.

Groupe Campagnolo Athena avec levier ERGOPOWER, pour monter et descendre les vitesses d’une simple pression du doigt, sans modification de la position adoptée par le coureur. Incorporée dans les leviers de freins, cette nouvelle manette de dérailleur assure une grande précision en mouvement, et un maximum d’efficacité dans les relances.

Just Rid-It

Une belle aventure débute ici !

2014
07.06

Les Copains d’Ambert, 2014

Copains_banniere_1

Descriptif :

Cyclosportive : Les Copains d’Ambert 2014
Région : Auvergne
Dépt : Puy-de-Dôme
Ville de départ :  Ambert (63600)
Difficulté : Haute
Distance : 157km / Dénivelé : 3050m
Durée : 5 heures 50 minutes et 08 secondes
Sport : Cyclisme Route

Journée en Livradois/Forez ce dimanche 6 juillet. Cela faisait maintenant 2 ans que j’attendais de pouvoir participer à cette cyclo dont le seul point négatif est le calendrier. Ainsi l’édition 2012 était tombé une semaine avant la Marmotte et l’édition 2013 à la même date que l’Etape du Tour. L’épreuve était donc cochée comme une priorité cette année, bien que le positionnement des Fondus de l’Ubaye une semaine avant limitait les perspectives.

Arrivée un peu avant 7h à Ambert, la ville à la fameuse fourme, je constate que la météo a décidé de jouer un bien mauvais tour aux cyclistes devant participer à l’organisation : près de 1852 engagés tout de même répartis entre les différents circuits randonnées et cyclosportifs. Un gros orage éclate en effet et ne cessera qu’une poignée de minutes avant le départ. Mais il en fallait plus pour nous refroidir et c’est finalement une ambiance conviviale qui règne sur la ligne alors que le départ est donné au son du canon.

Copains_ambert_2014_canon

Je m’élance pour ma part sur le grand parcours qui présente 157km et 4 cols (3050m de D+) avec comme point d’orgue la montée chronométrée du col du Béal (versant classé hors catégorie avec 11km et 800m de D+). Un parcours de moyenne montagne comme on les aime donc mais dont chacun espère pouvoir profiter au sec.

copains_ambert_2014_profil

Le départ est relativement roulant et j’essaie de me replacer avant l’entame de la première difficulté du jour. Il faut malgré tout redoubler de vigilance car la nervosité des concurrents est incompatible avec une chaussée rendue glissante par la pluie. L’agitation retombe heureusement après la bifurcation sur le grand parcours (dixième km) et les premières pentes du col de Chemintrand (1028m).

Les_copains_ambert_depart

Copains_ambert_2014_col_des_supeyresBien que peu difficile, la vitesse à laquelle est avalée la montée me reste malgré tout un peu dans les jambes et c’est avec soulagement que nous basculons, après une dernière ligne droite vent de face éprouvante. Le groupe reformée dans la descente s’organise, les relais tournent bien ce qui nous permet de revenir sur un peloton d’une 30aine de coureur avant l’entame du col des Supeyres (1366m). Celui-ci m’étant tout à fait inconnu, je décide de lever un peu le pied sentant déjà que la récupération des efforts fournis lors des Fondus n’est pas totale. La montée est relativement bien négociée, avec une jolie photo à la clé et la rencontre d’un Copain bien sympa que j’accompagnerai par la suite. Mais à peine le temps de s’arrêter au sommet que c’est déjà reparti.

La descente en direction de Job est belle mais piégeuse. En cause une chaussée toujours extrêmement glissante et je passe tout près de la cata sur un freinage mal dosé…..ouf c’est bon pour cette fois-ci mais j’ai eu chaud.

La traversée de Job me remet dans le sens de la marche, les enfants nous donnent le rythme en y jouant du tonneau. Pas le temps de s’arrêter ici mais cette cyclo à vraiment des airs d’Ardéchoises! Du sport, du spectacle, de la convivialité, une super organisation, les copains savent effectivement recevoir!

Job_au_son_des_tonneaux

Col_du_Beal_Copains_2014Bip, le signal qui marque le début de l’ascension chronométrée du col du Béal (1390m), un bien gros morceau que certains aiment pourtant faire 3 fois. L’étape récente du Dauphiné Libéré, qui aura vu Froome s’imposer au sprint face à Contador, est bien sûr dans toutes les têtes. Mais revenons sur terre, il me faudra pas moins de 49min et 58sec pour boucler les 11km à 6.6% de moyenne. Arrêt prolongé au sommet cette fois histoire manger un peu. Saucisson, fourme d’Ambert, pain d’épice et fruits secs, de quoi parcourir  les 65km restants sans craintes. Enfin….

Nous repartons en direction d’Olliergues. J’effectue la descente sur le Brugeron seul, et ce n’est pas plus mal car ce versant n’est pas celui qui offre le meilleur enrobée. Le paysage reste par contre splendide…

Les_copains_2014_Brugeron

Trouée avec vue sur le village du Brugeron

Plus qu’une difficulté désormais, le col des Fourches qui s’élève à 970m. Pas de quoi s’inquiéter normalement, le plus dur étant fait du moins sur le papier, mais je vais pourtant complètement coincer dans les 5 derniers kilomètres. La faute probablement à une alimentation insuffisante la veille (mes chers pâtes ayant été remplacé  par des haricots verts), mais également à la répétition des efforts au cours de ces dernières semaines. Un grand merci au Copain rencontré plus tôt qui n’emmènera dans sa roue jusqu’au sommet alors qu’une quinzaine de coureurs nous dépassent.

Le ciel s’est entre temps fortement couvert et les premières gouttes font leur apparition tandis qu’un panneau planté au bord de la route résume en un mot mon état d’esprit du moment: [ Ouf!!! 🙂 ]. La dernière descente est effectuée sous une pluie battante. A la base peu à l’aise dans cette exercice, je lâche la roue de mon coéquipier pour franchir la ligne après 5h50 de course (109ième, à 26.9km/h de moyenne). Heureux mais complètement Rincé!

Une arrivée sous des trombes d'eau...une pensée à tous les participants encore sur la route.

Une arrivée sous des trombes d’eau…une pensée à tous les participants encore sur la route.

Le repas servi est au niveau de la réputation des Copains. Salade de lentille, saucisson accompagnant le pain de campagne, pomme de terre en gratins avec jambon cuit et sauce, yaourt, gâteau. Je lève mon verre « Les Copains » (+1 pour l’écologie) à tous les copains bénévoles (+700), qui, aux carrefours, aux ravitaillements, ou œuvrant en amont… nous auront offerts cette magnifique journée. A bi1Tô à tous!